Que de la gueule!!!

Bon, autant mettre les choses au clair de suite, et ceux qui me connaissent savent que je dis vrai : une fois de plus, sachez que c'est MON blog, je m'autorise à y mettre ce que je veux, sans demander l'avis de qui que ce soit, alors je ne veux entendre aucun commentaire du genre " il nous emmerde avec ses trucs sans intérêt " ou consorts... Voilà. Ca c'est fait.

Donc:
La photo qui suit a été prise dans mon pub préféré, et la délicieuse demoiselle sur la photo ( ne comptez pas sur moi pour dévoiler son identité, je suis ce que je suis mais je n'ai qu'une parole) a cru bon de ne pas me croire quand je lui ai dit que je balancerai la photo en question sur mon blog... Les raisons pour lesquelles ce pari forcément à la con me font vous écrire un truc pareil à une heure pareille ne regardent que moi.

Alors loin de moi l'idée aussi sotte que grenue de raviver la vieille et sempiternelle querelle basco-bretonne ( la demoiselle en question l'est - bretonne, pas basque) , mais force est de constater que nananèreuu, voilà, c'est fait, la photo est là ( d'où le titre de ce post), et je n'ai rien d'autre à ajouter, je ne parlerai qu'en présence de mon avocat, un avocat étant , je vous le rappelle, le fruit comestible piriforme ( en forme de poire, pas en forme de plat à rôti en Pyrex, soyez pas cons) de l'avocatier, à la consistance du beurre et au léger goût de noisette et d'artichaut. Alors vous me direz de façon très légitime qu'on s'en contre-tamponne le coquillard, que déjà le coup de l'ornithorynque c'était limite, qu'on a sûrement autre chose à faire que disserter sur la crise existentialiste d'un animal assez con pour avoir le bec aussi plat que la queue ( je laisse libre choix à chacun de réfléchir là-dessus...) ou se prendre la tête sur un fruit avec un noyau aussi gros - non mais franchement ya pas idée, sans déconner- , ce à quoi, je vous répondrai petit un que j'ai pris le soin de préciser les choses dès le début de ce post, et petit deux que je vois d'ici les réflexions petites, faciles et mesquines de quelques troublions qui ne manqueront pas de me dire que l'artichaut est typiquement breton et que question beurre les bretons en connaissent une tartine, ce qui, convenons-en, outre le fait que c'est un très mauvais jeu de mots, n'a strictement aucun rapport avec le sujet abordé ici mais a tout au moins le mérite de me donner un faux prétexte pour me justifier de la façon la plus vile qui soit.

Donc voilà. C'est fait. Et j'ai la gueule de bois. Et je vais me coucher. Et tant pis pour les collections à la con, j'ai pas le courage, là... Bonne nuit.